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Conseils pour la gestion d'un pays.


Si Mon Peuple sur qui est invoqué MON NOM s'humilie, prie, et cherche Ma Face, et s'il se détourne de ses mauvaises voies, JE l'exaucerai des cieux, JE lui pardonnerai son péché, et JE guérirai son pays.
2 Chroniques 5:14.

La vraie liberté

Beaucoup de personnes militent pour la "libération" de la nation, une noble revendication qui devrait commencer par celle de l'individu.
Comment une personne opprimée pourrait-elle en libérer d'autres ?
Les antivaleurs font légion au sein de ceux qui sont appelés à éduquer la masse par le biais de leur bon exemple et non pas uniquement par de belles promesses. Tout compte fait, le relèvement de la patrie transitera par l'affranchissement du citoyen, avant d'aboutir à un état de droit fondé sur la vraie liberté qui est celle de l'homme.

La renaissance est possible

Malgré les décennies passées sous des régimes peu soucieux du bien-être populaire, une lueur d'espoir persiste pour le peuple meurtri. Des régimes peu recommandables qui ont affublés le pays d'image qui est loin glorieuse. Le pays qui se retrouve mis à genoux n'a pas d'autres choix que de prier dans cette belle posture des habitués de la prière, comme dans Actes 21:5. Le temps passé ne revient plus, dit le monde ; mais en CHRIST la renaissance est possible. A chacun de transmettre à la génération future les vertus de la bonne conduite pour une gouvernance exempte de duplicité, et génératrice de bien-être pour le pays.

Le moral des troupes

La tête est la partie essentielle du corps qui nécessite une surveillance permanente. La tête entière est malade, et tout le cœur est souffrant, dit Ésaïe 1:5. Toute structure bien coordonnée a une tête ; que ce soit un individu, une famille, une société ou un pays. Une introspection s'impose en vue de diagnostiquer et éradiquer tout dysfonctionnement de cette entité directrice, afin de préserver l'ensemble de l'organisme.

Rigueur sans frayeur

Être rigoureux ne signifie en aucun cas être antipathique. Plutôt que de malmener les caisses de l'Etat, on peut apprendre à fixer des limites à ses appétits. Il est convenable de faire preuve de rigueur envers soi-même, et pas seulement à l'égard des autres. Paul a dit : "Je traite durement mon corps", lire 1 Corinthiens 9:27. Le manque de rigueur dans la gestion du patrimoine public engendre des conséquences incommensurables. Pour exemple, le détournement des fonds de la société nationale d'électricité entraîne l'augmentation de l'insécurité, la péremption des aliments, sans oublier la mise en danger des personnes fragiles. Un peuple qui a de la rigueur a de l'avenir.

La politique de l'autruche

Dans un pays démocratique, il n'y a point de prisonniers politiques. Affirmer le contraire, c'est pratiquer la politique de l'autruche. Cet oiseau coureur qui se cache la tête en pensant que tout son corps devient invisible. Car DIEU lui a refusé la sagesse ; c'est en ces termes que l'autruche est citée dans le livre de Job 39:20. Il y a un temps pour arrêter de se voiler la face en parlant de démocratie là où des agissements anti démocratiques font légion. Lorsqu'on veut refuser de reconnaître la réalité d'un pays qui se dit "démocratique", et dont les geôles sont bondées de prisonniers d'opinion, on entre dans la politique de l'autruche. Il est encore temps de revenir à la démocratie.

Un contraste qui choque

Il n'est pas besoin d'être un fin limier en économie pour remarquer l'inadéquation qui existe entre le niveau de vie de la population et les ressources dont le pays regorge. Ce serait trop facile de ne jeter la pierre qu'aux pouvoirs publics, et d'ignorer l'implication de chaque citoyen, parfois poussé à l'ivrognerie par l'inactivité. Les terrasses fleurissent, les écoles tarissent. Faute de subventions, l'enseignement devient un luxe. Et c'est dans ce contexte que l'on voudrait célébrer avec fastes, "l'indépendance" d'un pays régenté par le plus grand contingent international, déployé jusque dans des villes où il n'y a ni guerre, ni massacres... un autre contraste choquant. Cette stratégie macabre d'endormissement du peuple est dévoilé dans en ces termes : "Donnez des liqueurs fortes à celui qui périt, et du vin à celui qui a l'amertume dans l'âme" Proverbes 31:6. Le fidèle se doit d'éviter ces lieux de distraction, mais au contraire, user de son temps précieux en aidant le pays à exorciser ses "vieux démons" que sont la corruption, le tribalisme, le régionalisme... Toutefois, il n'est pas encore trop tard pour se réveiller et combattre le bon combat, afin que cesse ce contraste qui choque.

La responsabilité du peuple

Il y a un récit qui illustre la détermination d'un peuple à assumer sa responsabilité de ne pas se laisser gouverner par des assassins. Il y eut un roi qui fut assassiné par des malfrats, mais le peuple du pays frappa tous ceux qui avaient conspiré contre le roi, atteste 2 Rois 21:24. Le réveil d'un peuple est facteur déterminant en vue de son affranchissement de tout régime despotique. Plus le peuple sera éveillé, moins les promesses fallacieuses auront des effets.

Sortir du marasme économique

La mauvaise gestion des régimes successifs a plongé le pays dans un profond marasme. Les performances des technocrates sont plus louables que celles de certains universitaires dont les titres académiques ne sont pas étayés par des réalisations concrètes sur terrain. Au rythme où évolue la situation macro-économique du pays, il y en a qui risque de partir sans être regretté. Comme le fut Joram, roi d'Israël, il s'en alla sans être regretté, et on l'enterra dans la ville de David, mais non dans les sépulcres des rois, relate 2 Chroniques 21:20. C'est aussi le sort qui attend quiconque dont la carrière politique est non pas profitable, mais préjudiciable voire nuisible à la collectivité. Il est temps de rectifier le tir, car lorsque tombe le châtiment, il est souvent trop tard. Les dictateurs passés en savent quelque chose.

Les groupes armés ne sont pas invincibles

L'amour n'exclut pas le châtiment.
Il y a une différence fondamentale entre combattre les rebelles pour la sécurité de sa famille et verser le sang innocent. Ces rebelles qui n'hésitent pas à massacrer à la machette les fidèles d'une assemblée en plein culte. En étendre à terre une dizaine, voire plus, servirait de leçon et d'avertissement à ces meurtriers, et contribuerait à les neutraliser. LE CHRIST demanda à Ses Disciples de se procurer des épées, Luc 22:36 ; non pas pour LE défendre, car Son Heure était venue, mais pour se défendre. Pierre et ses compagnons s'achetèrent des épées et apprirent à s'en servir, eux qui avaient pour professions la pêche, la collecte d'impôt... Si des hommes valides choisissent de prendre leurs jambes au cou, abandonnant femmes et enfants à la merci des criminels des groupes armés, c'est un mauvais choix. Car il vaut mieux combattre, que d'exposer sa vie au choléra et à la dysenterie qui dans sévissent dans les camps des réfugiés où d'aucuns pensent trouver asile. Certains gouvernements débloquent d'importantes sommes d'argent dans des campagnes de collecte d'armes auprès des civils contre des billets verts. Des opérations hyper médiatisées captées par les rebelles dans leurs maquis qui peuvent s'en prendre allégrement à ces populations désarmées. La prudence devrait pousser ces gouvernements à désarmer en priorité les agresseurs, avant de dépouiller les populations qu'ils ont du mal à protéger. La démocratie n'est pas un ascenseur, mais un escalier à gravir pas à pas. Les personnes menacées sont tenues de s'armer contre les bandits :
C'est pourquoi, prenez toutes les armes de DIEU, Éphésiens 6:13.
Pour les lâches...leur part sera dans l'étang de feu et de soufre, Apocalypse 21:8.
Les armes offensives et défensives de la justice, 2 Corinthiens 6:7.

LE SAINT NOM de Notre DIEU EST L'ÉTERNEL DES ARMÉES.
C'est patiemment que nous attendons la libération totale du pays. Que soit par la main des hommes ou par Sa Main Puissante, L'ÉTERNEL châtie toujours les dictateurs qui se prennent pour les maîtres du monde.

Réduction des dépenses de l'Etat

De nombreux pays ont amorcé des réductions des dépenses administratives en vue de faire face à la crise économico-morale qui gangrène ce monde. Cette sage mesure devrait inciter les gouvernements qui continuent à miser sur les emprunts auprès des institutions financières internationales à assainir leurs comptes, afin de juguler la crise par des méthodes plus nobles que l'endettement. Les emplois fictifs, des équipes gouvernements et cabinets ministériels aux effectifs pléthoriques devraient subir un coup de balai dans le but d'amenuiser les frais des dépenses publiques. Comme un lion rugissant et un ours affamé, Ainsi est le méchant qui domine sur un peuple pauvre, sagesse dans Proverbes 28:15.

Une cuisante défaite

Une guerre civile opposa 400.000 Israélites du sud à 800.000 du nord, 2 Chronique 13:3. Contrairement à toute logique cartésienne, les quatre cent mille l'emportèrent sur le huit cent mille à qui ils infligèrent une cuisante défaite causant une perte de cinq cent mille hommes d'élite. Tout comme lors de cette bataille, la guerre de 1948 ainsi que la guerre des 6 jours ont démontré que la victoire ne dépend pas de la supériorité numérique.
Comment cela fut-il possible ?
Les tribus du nord s'étaient confiées dans le veau d'or qu'avait fait fabriquer leur nouveau roi Jéroboam, abandonnant les Ordonnances de L'ÉTERNEL. Tandis que le peuple du sud, dirigé par la lignée de David demeura fidèle aux Commandements de L'ÉTERNEL. Et dans ce rapport de 1 contre 2, le royaume de Juda remporta la victoire parce qu'ils s'étant appuyés sur L'ÉTERNEL, LE DIEU de leurs pères qui soutient toute nation qui se confient en SON SAINT NOM. C'est pour cela que malgré le nombre d'ennemis, nous avons l'assurance de la victoire finale par LE DIEU VIVANT sur qui nous nous appuyons.

L'injustice sociale et ses conséquences

L'injustice sociale est mère des révolutions. Les écarts de salaires entre les dirigeants politiques et le reste de la population traduisent une injustice sociale avérée. Or qui dit injustice sociale, dit révolution, car le peuple n'est pas corvéable à volonté. Les corvées imposées par Salomon entraînèrent la révolte des tribus du Nord, relate 1 Rois 12:4. Le traumatisme des décennies de dictatures est encore présent dans la conscience collective pour que l'on puisse encore aduler un "timonier". Même soutenues par la communauté internationale d'anciens colonialistes et les diverses missions d'occupations déployées, les forces ténèbres sont déjà vaincues. La Lumière apparaîtra.

Mécanisation de l'agriculture

Depuis l'antiquité, les activités agricoles ont connu l'utilisation des moyens mécaniques en vue de l'accroissement de la productivité. En lisant attentivement dans 1 Rois 19:19, on retiendra qu'Élisée labourait en ayant devant soi un attelage de bœufs. Paradoxalement, en plein 21ème siècle, la mécanisation agricole n'est pas encore une réalité ; et ce, en dépit de l'existence du "ministère" de l'agriculture. Les émoluments du ministre et des membres de son cabinet ne sauraient empêcher l'acquisition des outils agricoles tels que tracteurs, moissonneuses, batteuses...qui animeraient des coopératives agricoles. La diversification des recettes étatiques est un des piliers du développement au moyen de la réduction des importations des denrées agricoles, et l'exportation du surplus de la production agraire. Contrairement aux ressources minéralogiques, les ressources agricoles sont inépuisables, car elles se régénèrent au gré des saisons, des sources d'eau et des précipitations dont le pays est béni. Le pays a un avenir et de l'espérance pour ceux qui croient.

Pour la "bonne cause"

On est souvent tenu d'accomplir des actes pour la "bonne cause". Parmi ces actions, il y a par exemple, soutenir des actions humanitaires ou encore aider une personne âgée à porter ses bagages, même quand on est pressé... Dans le domaine politique également, il y a de bonnes causes qui méritent d'être soutenues dans le cadre de l'intérêt collectif. Et si les bonnes causes existent, on peut en déduire qu'il y a de "mauvaises causes", susceptibles de porter préjudice à la réputation de celui qui y adhère. Cette ambivalence de causes engendre la nécessité d'une introspection, avant de soutenir telle ou telle combat. Ayons du discernement, 1 Jean 4:1.

Il refusa les "cadeaux" du roi

Les dirigeants font partie du peuple, mais tout citoyen ne fait pas partie des gouvernants ; de ce fait le "bonheur" des dirigeants ne reflète pas forcément celui de la population. C'est au peuple de bénéficier des meilleures productions du pays, et non seulement les autorités. L'intérêt général doit primer sur les ambitions personnelles, au risque de susciter des vocations parmi les "libérateurs" de tous bords.Daniel répondit en présence du roi Belschatsar, fils de Nabuchonosor : "Garde tes dons, et accorde à un autre tes présents ; je lirai néanmoins l'écriture au roi, et je lui en donnerai l'explication" Daniel 6:17. Ainsi, il refusa la corruption, afin de préserver sa dignité. Ce ne sont pas les "cadeaux" des institutions financières internationales, sous forme de prêts, qui développeront un pays, mais une gestion rigoureuse des ressources. LE SEIGNEUR a le pouvoir d'élever une nation par une pluie de bénédiction de la saison, ainsi que de l'arrière-saison. Le pays foisonne d'hommes et de femmes de bonne foi, dont les pères ont combattu le colonialisme et les dictatures, qui ne fléchiront pas les genoux devant la corruption sous toutes ses formes. Le peuple est tenu de faire preuve de rigueur envers soi-même et envers ses dirigeants, dans le but de s'engager résolument dans la voie du développement. Prenez courage, J'ai vaincu le monde, Jean 16:33.

Les "meilleurs" slogans

La mauvaise volonté politique est une des causes principales du sous-développement. En effet, l'insatiabilité et la gloutonnerie des uns font le malheur des autres. À chaque régime ses slogans, avec leurs équivoques, en voici quelques uns :
-Tout va changer (en bien ou en mal ?)
-Plus rien ne sera comme avant (pour le bonheur ou bien pour le malheur du peuple ?)
-Ensemble tout devient possible (même le pire ?)
-Fin de la récréation (pour les dirigeants ou pour le peuple ?)
-Tolérance zéro (de bonnes ou de mauvaises actions ?)
Ces slogans ne doivent pas servir à emberlificoter la masse populaire, car il en va de la crédibilité des dirigeants. Pour l'accomplissement de ces slogans, dénoué de toutes leurs ambiguïtés, il faudrait des intendants dont la probité ne fait l'ombre d'aucune contestation. Des hommes et des femmes capables de mener une politique audacieuse pour le développement socio économique de la nation. Il convient de choisir des administrateurs ayant la Crainte de L'ÉTERNEL, et qui n'acceptent pas les présents, car les présents corrompent le cœur, Ecclésiaste 7:7. Si L'ÉTERNEL ne bâtit pas la maison, ceux la bâtissent travaillent en vain, Psaume 127:1.

Il ne resterait plus que l'avion ou le bateau

Les politiques d'expulsions massives menées par des pays voisins, avec les dommages collatéraux orchestrés, rappellent un verset des Proverbes 27:10 qui déclare : "Vaut mieux un voisin proche qu'un frère éloigné". Les décennies passées au pouvoir semblent ne pas avoir apporté la sagesse à certains chefs d'état, qui plus est, rêvent de "rester présidents à vie". Après avoir "trinqué" dans les organismes sous-régionaux qui les "unissent", les dirigeants politiques règlent à présent leurs conflits de leadership à coups de refoulements. Ces expulsions constituent un jeu extrêmement dangereux, si l'on s'en tient aux mouvements des réfugiés fuyant les conflits pour se réfugier dans l'un ou l'autre pays voisin. Cette projection des conflits d'intérêts des gouvernants sur les paisibles citoyens, qui n'ont pas eu la garantie d'un quotidien digne, démontre "l'ingéniosité" à déceler les causes du marasme économique par une fuite en avant. L'hospitalité ainsi mise à mal, il ne resterait plus que l'avion ou le bateau en cas de catastrophe naturelle ou de conflit armé pour ces populations souvent contraintes aux migrations transfrontalières pour chercher refuge.

Un prophète corrompu

L'amour des billets de banque issus de la corruption fait perdre la foi, ainsi que la vie en conséquence ultime de cette déchéance. Alors que Néhémie et les exilés reconstruisaient la muraille détruite par l'armée d'occupation de Nabuchodonor, Schemaeja fut corrompu par les ennemis du peuple dans le but de saper les efforts de reconstruction nationale. Toutefois, lui et ses complices ne purent atteindre leur objectif visant à démoraliser ces bâtisseurs qui achevèrent leur ouvrage, en dépit des obstacles rencontrés. Les régimes dictatoriaux successifs ont détruit les mœurs et le tissu économique du pays, faisant des prisonniers politiques dont la libération est toujours remise au lendemain. Une des causes de l'échec du système est la nomination sur base de l'appartenance ethnique, non sur la probité et les aptitudes intellectuelles. La lutte contre ces anti-valeurs est une nécessité pour qu'il y ait décollage économique.

Ce que cache une révision constitutionnelle

La valeur intrinsèque d'une constitution est remise en cause lorsqu'on la vide de sa substance, par la modification des articles clés qui en font la teneur. À leur arrivée au "pouvoir", les gouvernants se soumettent "volontiers" à la constitution qui a permis leur élection ou réélection, jusqu'à l'arrivée de l'échéance butoir du nombre de mandats cumulés. Dès cet instant survient la tentation de modifier la constitution pour se pérenniser au pays au mépris de la constitution cadre. Encouragés par les apparatchiks qui profitent du régime, de nombreux chefs d'état tombent dans ce piège de l'anti constitutionnalité en réclamant une révision constitutionnelle sur mesure. Se maintenir au pouvoir, est-ce le meilleur moyen de servir un pays ? Ou bien est-ce la stratégie pour la ruiner davantage ? C'est primordial de faire obstacle à ces dirigeants aveuglés par la soif du pouvoir, car soutenir de tels individus, c'est se compromettre soi-même. Il est sage de ne rien y ajouter à la constitution, et de rien en retrancher, comme dans Deutéronome 12:32.

Comment évaluer les promesses électorales

Les campagnes sont une période "faste" pour la population qui voit ses "élus" sortir des bureaux, souvent climatisés, pour rendre visite à leur électorat. Ils font les marchés, serrent les mains des électeurs courtisés, histoire de leur faire de nouvelles promesses électorales, à défaut de réitérer les anciennes en version remix. Cependant, le peuple attend moins de promesses, mais plus d'actions concrètes. Il convient d'avoir la franchise de dire au peuple de se mettre au travail, pour qu'ensemble les forces vives de la nation œuvrent pour son apogée. Il serait décent de penser à augmenter le salaire de son électorat plutôt qu'à l'amélioration du train de vie des élus. C'est par leurs fruits qu'on reconnaîtra les imposteurs, Matthieu 7:16.

Croire c'est pouvoir, pouvoir c'est agir

Il y a des chefs d'état, des ministres, des gouverneurs... qui occupent inutilement ces hautes fonctions. Et lorsque vient l'heure du bilan, en lieu et place des réalisations concrètes, il y a soit des promesses d'achèvement de projets, soit des prétextes fallacieux pour justifier l'immobilisme. Obnubilés par les émoluments, bon nombre de dirigeants n'ont pour leitmotiv que leur pérennisation au pouvoir. Ces derniers s'évertuent à générer des conflits dans les banlieues et des pays entiers, et reviennent en "faiseur de paix", suscitant admiration de la masse populaire désinformée. Il n'existe pas de "pays pauvres", mais des pays appauvris. Ce sont les facteurs humains sont les principales causes de sous-développement, à savoir la corruption, le népotisme, le tribalisme, l'ostracisme envers les personnes compétentes. Les secteurs tels que l'artisanat peuvent être mis en valeur pour le développement d'une nation, afin que la notion abjecte de pays sous-développé ne trouve plus d'échos.

Les risques de l'attentisme

Toute dictature a un commencement et une fin, un apogée et un déclin. Sa durée est proportionnelle au temps de réaction du peuple opprimé. D'où l'intérêt de subjuguer ces dominations qui poussent à faire couler le sang innocent. La traversée du désert pendant 40 ans avait pour but de faire perdre la mentalité d'attentisme que les Israélites héritèrent de l'esclavage. Toute la génération qui avait connu l'esclavage périt dans le désert, à l'exception de Josué et Caleb qui avaient acquis la mentalité de conquérants. Un peuple qui parachève sa maturation saura gérer ses ressources humaines, énergétiques, minières, hydrauliques, agraires...dont il est béni. Et il demandera plus de transparence dans la gestion du trésor public ; car c'est aux héritiers de s'approprier de ce qui leur revient, et non pas s'attendre à des tiers pour le leur octroyer. Vous connaitrez LA VÉRITÉ et LA VÉRITÉ vous affranchira, Jean 8:32.

Ne leur faites pas confiance

Dans les organisations "internationales", les états ont les mêmes devoirs, mais pas les mêmes droits, en particulier le "droit de véto". A la fin de la seconde guerre "mondiale", les ténors de ce qu'on surnomme : la "communauté internationale" ont créé une organisation pour unir les nations sous leur joug. Le "droit de véto" s'applique à toute décision qui va à l'encontre des intérêts des dirigeants de ces organisations. Pour preuve, la décolonisation ou encore la démocratisation ne furent pas la priorité, encore moins la préoccupation de cet ensemble où chacun poursuit ses intérêts. Pour beaucoup de nations cette "communauté internationale" et ses organisations existent dans le but de mettre fin à des génocides chez les uns, ou d'évincer des dictatures chez les autres. Cependant, la réalité démontre que les indépendances et la démocratisation arrivèrent au moment où les marchands d'armes, qui poussent les peuples à s'entretuer s'y attendaient le moins. Les vendeurs d'armes se frottant les mains à chaque éclatement de guerre dans le monde. Le manque de préparation des peuples opprimés justifient les balbutiements constatés au lendemain de la réception de ces deux bénédictions. CHRIST nous a libérés de la peur, en disant : "Ne les craignez point", Matthieu 10:26. IL est venu pour renvoyer libres les opprimés. Le dictat des hommes est devenu sans effet sur les rachetés.
À qui faire confiance ?
Tournez-vous vers L'ÉTERNEL et vous serez sauvés. Soyons heureux d'avoir été libérés du mensonge international. La démocratie n'est pas un luxe, mais un droit pour chaque peuple.

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